Transition écologique : de quoi parle-t-on ?

La transition écologique est une évolution vers un nouveau modèle économique et social. L’un de ses principaux objectifs est de passer d’un système énergétique basé sur les énergies fossiles (pétrole, gaz naturel, charbon…) à un système fondé sur une production énergétique privilégiant les énergies renouvelables (éolien, solaire, biomasse, géothermie, hydroélectrique…).
La transition écologique a aussi pour objectif de diminuer la consommation d’énergie en limitant au maximum les gaspillages, à améliorer l’efficacité énergétique et à faire évoluer favorablement les comportements de consommation des entreprises et des particuliers.
Son but ? Apporter une réponse à la fois économique, sociale et durable aux enjeux environnementaux de notre planète.

La rétroaction glace-albedo, notre cheval de bataille

Utilisation de combustibles fossiles, déforestation, élevage industriel… Le réchauffement climatique est dû aux activités humaines. Il n’y a plus de doute. La période 2011-2020 a été la décennie la plus chaude jamais enregistrée. Réjouissant, non ? 🫣
Ce qu’il faut bien comprendre pour agir, est que le dérèglement climatique n’est en aucun cas un problème linéaire. En effet, certaines conséquences du réchauffement climatique deviennent elles-mêmes des causes supplémentaires de dérèglement du climat. Ainsi, des chercheurs ont identifié 27 phénomènes provoqués par le réchauffement climatique et qui contribuent à l’aggraver. Il s’agit de cercles vicieux, que les scientifiques appellent « boucle de rétroaction positive ».
La rétroaction glace-albedo en est un. La neige réfléchit l’énergie solaire à 90 %. Lorsque la calotte glaciaire fond, l’albédo de la Terre diminue. La Terre absorbe alors plus d’énergie solaire, la température augmente, la fonte des glaces s’accentue. Moins de glace, moins de réflexion ; moins de réflexion, plus d’absorption… Vous nous suivez ?

Transition écologique, fini de jouer

Poursuivons sur la partie du verre à moitié vide…
Les effets de l’augmentation des températures et du changement climatique sont déjà visibles, partout dans le monde. Les périodes de canicule et de sécheresse sont de plus en plus importantes, plus fréquentes et plus longues. 🥵
Les précipitations s’intensifient, le nombre de cyclones tropicaux violents augmentent. 💨🌧️
La glace de la mer Arctique recule mois après mois, le pergélisol dégèle libérant d’énormes volumes de gaz à effet de serre (hello méthane !)… ❄️🔥
Tous ces effets augmentent les risques sanitaires, qu’il s’agisse de ceux liés aux ressources en eau, à la réduction des rendements agricoles, au développement de maladies chroniques, ou encore de la perte de la biodiversité, incapable de s’adapter aussi vite aux changements. 😷🐞
Le changement climatique a également un impact sur les infrastructures de réseaux qui, comme les organismes vivants, se révèlent peu adaptées pour faire face aux évolutions climatiques. Nos activités économiques et les emplois associés ne sont pas mieux lotis.
Tout cela vous déprime ? Nous aussi. Mais à la consternation, nous avons préféré l’action !

Réduire les îlots de chaleur urbains, une stratégie gagnante

Les villes sont particulièrement impactées par le réchauffement climatique et les périodes de canicule qu’il engendre. Par exemple, en période estivale, il fait 8 °C de plus au centre de Paris qu’en grande banlieue. Cela est dû à l’effet d’îlot de chaleur urbain, un effet engendré par la concentration des bâtiments et à l’imperméabilisation des surfaces (on vous explique tout ici). Ainsi, certains scénarios estiment qu’en 2050, Pla ville de Paris subira 22 jours de canicule et 34 avant la fin du siècle. 🥵🥵🥵
Faisons place à présent au verre à moitié plein : il existe aujourd’hui différentes solutions, simples et accessibles, souvent complémentaires, pour réduire le phénomène d’îlot de chaleur urbain. L’un d’entre eux s’appelle le cool roofing, et c’est notre spécialité.

Le cool roofing, une solution efficace et durable pour réduire les coups de chaud

En France, la majorité des toitures sont de couleurs sombres et jouent un rôle important dans la concentration de chaleur, tant à l’intérieur des bâtiments, que dans l’atmosphère. Peindre les toits des bâtiments en blanc, en ville, mais aussi dans les zones commerciales ou industrielles, permet d’augmenter la réflectivité des toits et de limiter ainsi l’accumulation de chaleur à l’intérieur des bâtiments. La solution est simple et rapide à mettre en œuvre. Les résultats sont immédiats.

Nos calculs et retours d’expériences démontrent que la température moyenne d’un bâtiment, dont le toit bénéficie d’une peinture réflective Cool Roof France, est inférieure de 6 °C à celle d’un bâtiment dont le toit est resté sombre. Plus de confort, moins de dépenses énergétiques… Bye bye la clim’… Et une action concrète et directe en faveur de l’environnement.

Vous redoutez l’été à venir (et tous les suivants) ? Vous souhaitez réduire la consommation énergétique de votre entreprise ou encore participer à la lutte contre le réchauffement climatique sur votre territoire ? Profitez de nos conseils pour définir votre projet.

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